Avec un titre comme "Fall Of A Music Empire", cela
ressemble à un film fait pour la télévision. Qui a vu la chute venir? Pendant
des années, si un artiste voulait jouer sur la grande scène, il devait signer
sur la ligne pointillée. Si vous regardez l’histoire de tous, de Louis
Armstrong à Kayne West, ils ont tous eu de mauvaises affaires. C'est une
pratique standard. Certaines raisons sont-elles justifiées? Bien sûr, ils sont,
et c'est de là que vient le plus gros argument. Avant de commencer,
réfléchissons à la situation de la ville de New York (sur la scène musicale).
C'est une toute autre histoire, mais nous allons y revenir très bientôt. Le
problème avec New York réside dans la manière dont ses groupes établis dans le
hip-hop numérisent environ 50 000 disques vendus. Et je regarderais vraiment
les pré-commandes et les retours et ces chiffres pourraient être encore plus
bas. Si vous êtes musicien et que vous voulez connaître l’empire de la musique,
rendez-vous ici. Sauveur
Eloheem - L’empire des seiches.
Si vous écoutez de nombreux artistes de la région du Sud
existent depuis quelques années, ou si un nouvel artiste connaît l’histoire,
vous savez ce qu’ils disent? Ils disent que lorsque des artistes new-yorkais
viendraient dans leur ville, ils diraient aux locaux que leur son ne cadrait
pas avec le hip-hop. Allez faire la recherche si vous avez besoin de connaître
les noms de qui a fait quoi, prétendument. Je fais un point parallèle ici, donc
je ne vais pas me lancer dans les accusations de l’art. Ce que je veux dire,
c'est comment la chute s’est produite et elle n’a pas été vue de loin. Nous
nous souvenions enfin que certains artistes de rue vendaient le statut Gold
(500 000 unités), et ce, avec une séquence de liste de pistes erronée. Plus
maintenant. Les artistes ont même cessé d'essayer de vendre en dehors de la
région des trois États. La vérité silencieuse est que cela ne changera pas à moins
que New York redevienne New York. Le frisson est parti.
Les labels majeurs étaient tous puissants. Et s'ils ne
disaient pas que vous pouviez passer "GO", vous ne pouviez pas
passer. Mais un peu avant cela, les artistes déplaçaient des unités à leur guise,
ou sur des labels indépendants, et ils étaient en mesure de dire ce qu'ils
voulaient dire. Vous savez ce que vous dit l'empire des grands labels est tombé
dur? La majorité de la musique ne se vend pas via les labels pour le moment. Il
y a quelques semaines à peine, iTunes est devenu le deuxième plus grand
détaillant de musique au monde, après Wal-Mart. Tout le monde sait que des
chaînes comme Wal-Mart ne vendent de la musique que pour vous permettre
d'acheter d'autres choses dans les magasins. C'est pourquoi leurs CD sont moins
chers. Si vous attrapez du chewing-gum et du fromage à la sortie, ils
rapporteront ces quelques dollars.
Permettez-moi de revenir en
arrière: l'empire n'est pas encore tombé. Mais les
pratiques ont radicalement changé. Regardez combien de gens ont reçu des
feuillets roses l'année dernière. Les gens ont reçu des feuillets roses chez
les grands labels de New York juste avant Noël? Pouvez-vous imaginer cette
conversation avec oncle Mike à la table du dîner? Il dit: "Alors, comment
va ma nièce dans ce grand label new-yorkais? Avez-vous rencontré Beyonce? Je
parle de vous aux gens de chez moi." L'ex-membre de la direction dit:
"Euh, j'ai été mis à pied." Whoa? L'empire sera de retour comme le
film l'a montré. Mais pour le moment, les troupes sont touchées. Je pense
qu'avec Rome et la Grèce, la chute de l'empire n'a pas été vue. C'est pourquoi
j'appelle les problèmes avec les maisons de disques «l'automne».
